le Café du peintre
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CUISINE LYON

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COMMUNIQUE




DE PRESSE









Une histoire lyonnaise.    FLORENCE PÉRIER




Le Café du Peintre a obtenu le trophée du Bouchon Lyonnais 2013

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1- une partie de l'article du 13 octobre 2011 par Gilles Pudlowski

Florence Périer, qui s’est remise à la cuisine après un long passage en salle, dans diverses belles maisons étoilées ou non
(cherchez bien: vous l’avez connu jadis chez un étoilé de Lyon…),
Pour cette Croix-Roussienne,installée depuis février 2009,
elle reprend donc Le Café Du Peintre,quartier des Brotteaux
où elle a mis tout son coeur et sa patte ménagère et primesautière avec verve et entrain.
Son fils Maxime alors étudiant vient lui donner un coup de main pour le lancement
mais il prend vite goût au métier et ne quitte plus le bistrot !
Aujourd’hui, l’établissement propose une cuisine traditionnelle, semi-gastronomique.
Maxime est en salle, conseille les vins avec malice,
tandis que les plats du jour se déclinent à l’ardoise et que l’ambiance est familière.
Bref, on est vite ici chez soi.

2-une partie du Textes empruntés à Catherine Coroller correspondante à Lyon pour http://next.liberation.fr/ 17/03/2014 .


(Photo Sebastien Erome/ Signatures)

Il est 8 heures du matin au Café du peintre.
Après un passage aux Halles de Lyon-Paul Bocuse, où elle se fournit en charcuteries lyonnaises, Florence Périer s’est mise aux fourneaux.
Tandis que les ris de veau cuisent doucement dans un grand faitout rempli d’eau, la cuisinière et patronne des lieux
fend la peau des andouillettes afin d’en dégager la chair
qu’elle met à rissoler dans deux larges poêles.
Une fois cuits, les ris de veau sont déposés dans un plat percé de trous et pressés.
Dans la poêle, la chair des andouillettes se colore peu à peu.
Florence Périer ajoute une rasade de vin blanc, de la moutarde.
Puis, un peu plus tard, de la crème fraîche et de la moutarde en grains à l’ancienne.
Au déjeuner, les ris de veau seront servis en cassolette avec crème et morilles,
les andouillettes en gratin dans des ramequins sur fond de pommes de terre à la lyonnaise
mijotées avec des oignons.

avec tout l'amour et la passion d'une digne représentante des Mères Lyonnaises.

Mais dans les bouchons, la tradition fait loi.
Comme au Café du peintre, «on ne cherche pas à révolutionner les recettes», 
«La clientèle, faut pas la chambouler.
Les gens veulent que les recettes ne bougent pas trop», confirme Florence Périer.
Pas question non plus de céder à la tentation de l’allégé, même si la patronne du Café du peintre cuisine moins gras

que sa grand-mère et sa mère,qui tenaient déjà bouchon du côté des halles.

Non, les seuls aménagements à la tradition viennent des goûts culinaires de la cuisinière elle-même.
Si Florence Périer «adore le foie de veau à la lyonnaise» - poêlé au beurre, déglacé au vinaigre et servi avec une persillade -,
elle ne raffole pas de la tête de veau. 
«Je la fais braisée au vin rouge, c’est plus à mon goût.»  
Coupée en tranches,«elle est colorée à la poêle comme un steak.  
Ça devient croustillant et ça n’a plus ce côté gras et gélatineux.»  
Et, assure la patronne du Café du peintre, «les clients en redemandent».

50, BOULEVARD DES BROTTEAUX
69006 Lyon
Tél. 04 78 52 52 61.
Midi : 12h - 14h30
Soir : 19h30 - 21h15
Le samedi soir de septembre à avril / mâchon lyonnais de 9h à 10h en semaine

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Note générale : * * * * *













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